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Qu'est-ce que l'Acupuncture?


Du Qi à l'ATP et du Yin Yang aux mécanismes de régulation de l'homéostasie!


Qu'est-ce que l'Acupuncture?


Je profite de cette tribune pour rédiger un article sur l’Acupuncture. Depuis plusieurs années, on me demande souvent ce qu’est l’Acupuncture. Dans ce texte, je vous ai fait un pot-pourri des explications diverses données lors de ces questionnements, ainsi que le résultat de recherches plus approfondies que j’ai faites pour me permettre de mieux vulgariser l’information. Il s’agit ici d’une présentation assez succincte, et il me fera plaisir de proposer des ouvrages de référence aux plus curieux.


Comparaison de la médecine occidentale et de la médecine chinoise


Définition de médecine : Science, ensemble de technique et de pratiques qui a pour objet la conservation et le rétablissement de la santé; art de prévenir et de soigner les maladies de l’homme.

- Le Nouveau Petit Robert, dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française, nouvelle édition millésime 2009, p. 1561


La médecine occidentale (MO) comprend différentes disciplines et professions. Qu’on parle des infirmières, des physiothérapeutes, des inhalothérapeutes, des pharmaciens, des médecins généralistes et des spécialistes; tous ces professionnels parlent le même langage; le langage médical scientifique. Cette médecine est bien structurée selon des systèmes de hiérarchie, de possession du savoir, de raffinement et de compréhension phénoménale du corps humain dans tous ses mécanismes biologiques, toutes décortiquées. C’est fascinant!


La médecine traditionnelle chinoise (MTC) comprend, elle aussi, différentes disciplines et professions. On y retrouve le Qi Gong et le Taiqi Quan (exercices physiques), le Tuina, l’Acupuncture et moxibustion, l’herboristerie/phytothérapie et la diététique chinoise. Toutes ces disciplines parlent le même langage, établie selon des théories propres à la MTC, ayant vu le jour il y a près de 5 000 ans, qui a sans cesse évolué, et qui est toujours appliquées aujourd’hui. Une médecine bien structurée, très rigoureuse et considérant l’être humain comme un tout indissociable de la nature et de l’univers dans lequel il gravite. Où l’on ne traite pas seulement le problème, mais l’Être humain.


Ce qui est normal pour nous, aujourd'hui, c'est que la théorie vient d'abord, et ensuite, on implante une pratique. Il y a 5000 ans, les Chinois ont d'abord découvert des phénomènes de guérison par la pratique et s'en est suivi la théorie. Une théorie bien étrange pour nos cerveaux occidentaux, appartenant à une autre culture et une autre époque, mais si bien appliquée jusqu'à nos jours, avec d'excellents résultats. Grâce aux avancées scientifiques, plusieurs aspects de la MTC sont maintenant démontrés scientifiquement. D'autres fondements restent plus difficiles à démontrer selon nos normes scientifiques, puisque les théories de la MTC sont différentes et que l'individu est perçu comme un tout. Il n'est donc pas toujours possible de valider, par un projet de recherche, les mêmes points d'acupuncture sur plusieurs patients pour un problème donné, puisqu'on accorde beaucoup d'importance à l'ensemble des systèmes de l'individu. En 2002, L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une liste de 28 affections pour lesquelles l'acupuncture a prouvé son efficacité.


Je trouve important de vous dire d’emblée que malgré l’image de l’article associant le Qi à l’ATP et le YinYang aux mécanismes de régulation de l’homéostasie, les liens ne se font pas aussi facilement entre la MO et le MTC. Les théories sur lesquelles s’appuie l’acupuncture font appel à des synthèses fonctionnelles propres à la MTC. Les concepts que je vous expliquerai bientôt illustrent l’originalité de la pensée médicale chinoise qui reconnaît une anatomo-physiologie différente de celle enseignée par la Médecine Occidentale. Ce serait donc une erreur de considérer que ces deux médecines sont superposables. Par contre, je tenterai quelques analogies occidentales pour vous permettre de vous faire une image plus claire de ces concepts nouveaux; par exemple en vous parlant de processus biochimiques ou en faisant des analogies avec la nature.


Ces deux médecines sont complémentaires et travaillent bien en synergie.


Les Théories de la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC)


Le Yin et le Yang :

Macroscopiquement, la mécanique céleste explique l’interaction et l’équilibre des astres et des planètes dans l’Univers. Microscopiquement, la mécanique quantique explique l’interaction et l’équilibre des noyaux et des électrons dans l’atome, de l’atome dans les molécules, etc. De l’infiniment grand à l’infiniment petit, tout n’est qu’Énergie. Depuis des millénaires, les théories médicales chinoises reposent sur une conception énergétique de l’Univers, soutenue aujourd’hui par la physique moderne. Pour les Chinois, l’existence et l’équilibre de tout système résultent de l’Interaction constante de deux forces antagonistes et complémentaires : le Yin et le Yang, qui ne sont finalement que deux procédés d’expression d’une seule et même énergie fondamentale.


Le Yin et le Yang se contrôlent et s’engendrent. Par exemple, la nuit est Yin et le jour est Yang. Dans l’équilibre, la fin du jour fait place au sommeil, et le levé du jour au réveil. Le système nerveux sympathique renvoie à l’idée du Yang et le parasympathique au Yin. En équilibre, les deux se contrôlent et s’engendrent pour maintenir une homéostasie. On peut y aller encore et encore en impliquant chaque système du corps allant du système endocrinien (hormonal) au système musculaire, et en subdivisant ce qui est Yin et Yang. S’il y a déséquilibre, des mécanismes de régulation de l’homéostasie sont mis en place par le corps (contrôle et engendrement Yin et Yang). Si l’état de déséquilibre perdure et crée un mal-être ou une maladie, l’acupuncteur tente par l’insertion d’aiguilles sur des points bien précis de venir rééquilibrer le cycle Yin-Yang en provoquant un mouvement électrique dans l’organisme; en activant les mécanismes de régulation de l’homéostasie.

Définition de l’homéostasie : la capacité de l’organisme de maintenir relativement stable son milieu interne malgré les fluctuations constantes de l’environnement.

– MARIEB, Elaine N. Anatomie et physiologie humaines. Quatrième édition, ERPI, p. 9


Les cycles Yin Yang dans le corps traduisent l’équilibre (relation de support et de restriction mutuels); l’homéostasie. En médecine occidentale, on explique que la communication entre les différentes parties de l’organisme est essentielle au maintien de l’homéostasie. Le système nerveux et le système endocrinien captent et transmettent la majorité des informations nécessaires au maintien de l’équilibre. Le premier produit des influx nerveux, transmit par les nerfs, tandis que le second élabore des hormones, que transporte le sang. L’acupuncture a un très bon effet sur ces mécanismes.


En langage MO, on explique que le système neuro-endocrinien-immunitaire constitue le centre de maintien de l’équilibre et de la stabilité de l’environnement interne de l’organisme et des fonctions physiologiques. Ceci correspond à la vision holistique de la MTC sur l’équilibre entre le Yin et le Yang, le Qi et le Sang (concept chinois du Sang) et les fonctions des sphères d’organes.


Le Qi :

L’Énergie en MTC (le Qi prononcé « tchi ») est extrêmement difficile à traduire. Différentes définitions ont été proposées, mais aucune ne traduit de façon exacte la vraie nature du Qi. Voici quelques définitions proposées : énergie, force matérielle, matière, éther, martière-énergie, force vitale, force de vie, puissance vitale, puissance dynamique, souffle. C’est parce que, selon les théories chinoises, le Qi a un caractère fluide qui lui permet de revêtir des formes diverses et d’être différent, en fonction des circonstances, qu’il est difficile de le traduire.

Pour ma part, je le conçois comme l’ATP*, comme l’énergie fonctionnelle de nos organes, de nos systèmes (cardiovasculaire, lymphatique, musculaire, nerveux, etc). Je le considère comme une énergie électrique, comme un mouvement, une force et une forme physique. Plutôt que de le considérer dans un langage imaginaire, je l’associe à l’énergie que j’ai pour passer au travers de ma journée, à l’énergie que mon corps a pour digérer un repas copieux, par exemple. Un thérapeute physique pourrait vous dire que l’activité physique se définit comme une suite de mouvements du corps, où entrent en ligne de compte tous les muscles squelettiques, produisant ainsi un accroissement du rendement énergétique. En MTC, nous dirions que l’activité physique favorise la libre circulation du Qi dans le corps. Dans des langages différents, appartenant à différentes médecines, nous disons la même chose.


*Explication de ce qu’est l’ATP : On définit l’énergie comme la capacité de fournir un travail ou de mettre de la matière en mouvement. Dans les différentes formes d’énergie, il existe l’énergie chimique, qui est emmagasinée dans des liaisons des diverses substances chimiques sous forme d’énergie potentielle. Lorsqu’il survient des réactions chimiques qui réarrangent les atomes de façon différente, cette énergie est libérée et se transforme en énergie cinétique, ou énergie du mouvement. Une partie de l’énergie de nos aliments se trouve temporairement stockée sous forme de liaisons chimiques dans une substance appelée adonésine triphosphate, ou ATP. Quand le besoin se fera sentir, les liaisons de l’ATP seront rompues et l’énergie sera libérée afin de permettre aux cellules de réaliser leurs activités. Chez tous les êtres vivants, l’énergie chimique stockée sous forme d’ATP est la forme d’énergie la plus utile parce qu’elle alimente tous les processus fonctionnels.

– MARIEB, Elaine N. Anatomie et physiologie humaines. Quatrième édition, ERPI, p. 28



Les cinq éléments :

La médecine traditionnelle chinoise s’est développée à partir d’une vision du monde très différente de celle actuelle. Pour les philosophes grecs antiques, l’univers était formé de quatre éléments essentiels : terre, air, feu et eau. Pour les Chinois, le monde dérivait de cinq processus : bois (mu), feu (huo), terre (tu), métal (jin) et eau (shui), désignés ensemble comme wuxing (mouvements ou éléments). À la différence des éléments occidentaux, ceux-ci ne sont pas des substances passives, mais actives. Par exemple, le Bois est associé à la croissance, et le feu à la transformation, etc. Chaque élément donne naissance à l’élément suivant dans un cycle. Chaque élément est en étroite relation avec les autres. Ayant créé une vision du monde où tout ce qui existe est lié aux cinq éléments, les Chinois ont étendu ce modèle à tous les aspects de la vie, et donc, ils ont même identifié dans le corps des organes à ces éléments. L’équilibre du corps dépend donc de l’équilibre de ces éléments dans le corps.


Du point de vue pratique, cela permet au thérapeute d’expliquer l’existence, par exemple, de troubles digestifs reliés à une problématique émotionnelle; des problèmes de peau qui surviennent dans une période de grand stress; ou encore, des migraines qui surviennent pendant les règles; par exemple.


Les méridiens :

En MTC, les mouvements du Qi s’organisent selon des trajets particuliers : les Jing Luo Mai (Méridiens). Jing Luo renvoie à l’idée de voies ou vaisseaux (Mai) qu’emprunte le Qi pour circuler dans tout le corps humain. Les méridiens assurent les connexions interviscérales, régularisent le fonctionnement de chaque partie de l’organisme, font communiquer les organes internes et les membres, le haut et le bas, les couches plus externes et les couches plus internes.

Pour faire suite à ce qui a été expliqué ci-haut dans la partie Yin-Yang, l’Être humain est considéré comme un microcosme dans un macrocosme, et il est, lui aussi, le siège de mutations énergétiques Yin-Yang (comme tous les constituants de l’Univers, il n’est que l’expression de l’Unité). Donc, les énergies humaines empruntent des trajets particuliers pour circuler dans tout l’organisme, et ce sont les méridiens.

L’Acupuncture est la science de la conduite de ces énergies. En cas de déséquilibre, l’acupuncteur intervient en stimulant, selon des règles propres à la MTC, certains points d’acupuncture pour rétablir une circulation perturbée.



Un point d’acupuncture :

En MTC : Le mandarin et la culture chinoise sont constitués d’une richesse d’expressions par métaphore. Chacun de ses concepts en est l’exemple. L’expression chinoise pour désigner un point d’acupuncture est Shū Xuè. Shū désigne un trou servant au transport ou à la communication dans le corps. Xuè renvoie à l’idée de crevasse, de caverne. Les méridiens étant décrits comme des rivières souterraines; la caverne donne accès à la rivière. Les points d’acupuncture sont des sites privilégiés où se concentre l’énergie des méridiens.


Scientifiquement : le point d’acupuncture est une zone précise dans la peau où le potentiel électrique est faible. L’insertion de l’aiguille stimule des terminaisons nerveuses permettant une action locale ou distale (il y a alors intervention du système nerveux central) tant au niveau des fonctions sensorielles que motrices, avec ses répercussions sur la circulation du Sang. Comme l’aiguille est un thermocouple, la stimulation du point entraîne aussi une modification des champs électromagnétiques des liquides interstitiels au niveau local surtout.


L’acupuncture mondialement :

Il est intéressant de constater que la médecine chinoise, plus particulièrement l’acupuncture, fait de plus en plus sa place dans le système de santé mondial. Des acupuncteurs travaillent maintenant dans certains hôpitaux de Montréal, de Paris, et ainsi qu’un peu partout sur la planète. L’acupuncture fait ses preuves, et de plus en plus de médecins réfèrent en acupuncture. Espérons qu’un jour, le Qi Gong, le tuina et la phytothérapie chinoise seront davantage reconnus aussi, ailleurs qu’en orient. Il est bien certain qu’en Chine, par exemple, les deux médecines cohabitent depuis très longtemps dans les hôpitaux. Surtout qu’une très grande partie des médecins en Chine maîtrisent les deux médecines.


L’acupuncture en milieu hospitalier au Qc : http://actualitegouvernementale.ca/message/le-temps-est-venu-drsquoouvrir-la-porte-des-hpitaux


L’acupuncture à l’Hôpital de Paris : http://www.sourcier-geobiologie-67.com/2015/04/22/quand-l-acupuncture-fait-des-miracles/


La formation au Québec:

La formation se donne au public par le Collège de Rosemont depuis 30 ans maintenant. Il s’agit d’une formation rigoureuse permettant aux étudiants d’avoir une base solide tant en médecine occidentale qu’en médecine traditionnelle chinoise. Les cours de base en santé que nous devons réussir sont les suivants : Anatomie, Physiologie et homéostasie 1 et 2, Hygiène et asepsie, Médecine Clinique 1 et 2, Examen Clinique, Dépistage et urgence. En plus de tous nos cours de Médecine Chinoise.


L’Ordre des acupuncteurs du Québec (OAQ):

Au Québec, l’Acupuncture est légiférée par un Ordre professionnel depuis 1995. La pratique de l’acupuncture est un acte réservé, et seuls les acupuncteurs membres de l’Ordre des Acupuncteurs du Québec sont autorisés à pratiquer cette discipline.


Site de l’Ordre des acupuncteurs : http://www.o-a-q.org/


Ma vision des choses:

Je suis une fille de défi, d’authenticité et qui recherche la compréhension dans tout ce qu’elle fait ou ce qu’elle vit. Alors, souvent, je cherche à nommer dans des termes occidentaux la raison de l’efficacité de mon traitement, mais souvent, l’explication chinoise est plus claire à mes yeux.


Exemple d’explication à l’occidental : Je sais que l’insertion d’une aiguille dans un muscle crée une dépolarisation des cellules, crée un mouvement, nourrit ou débloque, et détend le muscle. Il est aussi reconnu que l’acupuncture produit l’effet d’augmenter le métabolisme de la personne, et donc, l’aide à guérir. Je sais aussi, par exemple, qu'un certain type de douleur à l’épaule est souvent relâché en trouvant un point douloureux près du bas de l’omoplate et en le poncturant afin de défaire le nœud musculaire et le détendre. Ceci est une technique qui résulte des travaux d'une Médecin qui a consacré sa vie aux douleurs musculaires – Janet Travell – qui a même été le médecin de Kennedy.


Exemple d’explication à la chinoise : J’arrive bien à m’expliquer la guérison d’allergies perannuelles parce que j’ai tonifié le Qi du Poumon, du Rein et le Du Mai. Ou encore, que les hémorroïdes d’une patiente soient soulagés parce qu’on a tonifié le Qi de Rate/Pancréas. Qu’en travaillant en équipe avec un autre professionnel de la santé (physiothérapeute, ostéopathe, chiropraticien), on soit arrivé à guérir la douleur d’un patient et que mes traitements aient contribué à diminuer l’inflammation et à aider le corps à gérer la douleur. À ce moment, je me l’explique dans les deux langages : En faisant circuler le Qi et le sang dans les Méridiens affectés, j’ai fait diminuer l’inflammation. Et l’insertion de mes aiguilles d’acupuncture a mis en place le CIDN (Contrôles inhibiteurs diffus de la nociception).


Certains acupuncteurs ont une approche plus occidentale, d’autres, davantage une approche énergétique chinoise. Mon identité professionnelle navigue entre les deux. Une médecine qui a su traverser des milliers d’années par son efficacité ne doit pas être spontanément fragmentée car certains aspects sont maintenant prouvés scientifiquement. L’essence de sa force est dans son Tout, l’être humain et tous ses systèmes. La dimension énergétique tient compte des dimensions émotionnelles, mentales et universelles de la psyché en plus de soutenir et de dynamiser la dimension physique. En étant basée sur une vision holistique, l’acupuncture a un impact bioénergétique touchant la globalité des aspects de la personne, et c’est ce qui me plaît.


Article rédigé par votre acupunctrice,


Caroline Baril-Mantha, Ac.

Membre de l'Ordre des acupuncteurs du Québec

514-616-4391


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Sources :

- Deadman et Al-Khafaji, Manuel d’Acupuncture, SATAS, 2003, Belgique, 678 p.

- Le Nouveau Petit Robert, dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française, nouvelle édition millésime 2009, p. 1561

- MACIOCIA, Giovanni, La pratique de la médecine chinoise, 2e édition, Elsevier, 2011, Belgique, 1537 p.

- MACIOCIA, Giovanni, Les principes fondamentaux de la médecine chinoise, 2e édition, Elsevier, 2011, 1286 p.

- MARIEB, Elaine N. Anatomie et physiologie humaines. Quatrième édition, ERPI, p. 28

- Notes de cours 112-014-RO, préparée par Pascal Manny, Méridiens I et palpation de surface, Théorie des ShuXue, p. 2

- ODY, Peneloppe, La Bible de la Médecine Chinoise, Étitions France Loisirs, 2012, Paris, 400p.

- Ordre des Acupuncteurs du Québec, L’acupuncture, [en ligne]. http://www.o-a-q.org/fr/acces-public/l-acupuncture/definition.aspx (consulté le 25 avril 2016)

- SOLINAS, AUTEROCHE et MAINVILLE, Atlas d’acupuncture chinoise 1 – topographie des méridiens, Maloine, 1990, Paris, 260 p.

- Yan Shan, Acupuncture Traditionnelle Chinoise No15 – Recherche sur la relation entre le stress et la fonction Shu Xie (dégagement ou propulsion des énergies) du Foie- Institut Yin-Yang, p.16

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